L'EXPOSITION TEMPORAIRE
Du fil aux perles
Travaux féminins
DU 1er mai au 3 Novembre 2024
Du fil aux perles
Travaux féminins
Sous ce titre, qui peut paraître sibyllin, seront présentés des exemples de travaux féminins, réalisés le plus souvent dans le cadre domestique, allant depuis des obligations pratiques, tel le raccommodage, jusqu’à des prouesses esthétiques. Hommage à ces occupations féminines, mal rémunérées, qui ne laissaient jamais les mains inactives.
Aussi, après une introduction sur les textiles traditionnels (le chanvre, la laine) ou ceux venus ensuite (soie, coton), la première partie de l’exposition portera sur des opérations ménagères (tricotage, tapisserie) apprises autrefois aux jeunes filles dès leur plus jeune âge, sous la direction de leur mère ou des grands-mères. Au passage, sera rappelé l’exercice scolaire allant dans le même sens, que ce soit à l’école publique ou dans les pensionnats religieux.
Autour d’une reconstitution, la “chambre de la brodeuse”, inspirée par une ancienne installation, à cet étage, d’Alice Taverne, les visiteurs pourront découvrir ensuite quantité de chefs-d’œuvre créés avec les différents procédés de broderie et de fabrication de la dentelle, depuis les broderies des gilets d’homme de l’époque Louis XVI, jusqu’à des réalisations récentes où cet art du fil est devenu un loisir.
Prendront place aussi, des aspects méconnus aujourd’hui, comme la mise en œuvre des perles de verre, du jais, des clinquants, voire des “paperoles” pour les reliquaires exécutés par des nonnes, ou encore les chapelets confectionnés par les bergères du Haut Forez pour les marchands d’Ambert.
Aussi, après une introduction sur les textiles traditionnels (le chanvre, la laine) ou ceux venus ensuite (soie, coton), la première partie de l’exposition portera sur des opérations ménagères (tricotage, tapisserie) apprises autrefois aux jeunes filles dès leur plus jeune âge, sous la direction de leur mère ou des grands-mères. Au passage, sera rappelé l’exercice scolaire allant dans le même sens, que ce soit à l’école publique ou dans les pensionnats religieux.
Autour d’une reconstitution, la “chambre de la brodeuse”, inspirée par une ancienne installation, à cet étage, d’Alice Taverne, les visiteurs pourront découvrir ensuite quantité de chefs-d’œuvre créés avec les différents procédés de broderie et de fabrication de la dentelle, depuis les broderies des gilets d’homme de l’époque Louis XVI, jusqu’à des réalisations récentes où cet art du fil est devenu un loisir.
Prendront place aussi, des aspects méconnus aujourd’hui, comme la mise en œuvre des perles de verre, du jais, des clinquants, voire des “paperoles” pour les reliquaires exécutés par des nonnes, ou encore les chapelets confectionnés par les bergères du Haut Forez pour les marchands d’Ambert.